« Je vous aide à trouver les mots pour bâtir des ponts avec votre public-cible, jusqu’à parler le même langage »
Stéphanie de Roguin
Lorsque j’étais enfant, ce que j’aimais, c’était raconter des histoires. J’écrivais beaucoup et je fabriquais de petits livres en papier et carton bricolés. Avec le temps, j’ai voulu être météorologue, ethnologue, puis travailler dans l’humanitaire.
Lorsqu’il a été temps de choisir un cursus d’études, j’ai choisi celui de la géographie. J’ai toujours aimé découvrir le monde qui m’entoure (d’où mon intérêt encore aujourd’hui, pour la randonnée, les loisirs de plein air et les voyages – maintenant sans avion, pour des raisons écologiques), et le retranscrire, diffuser autour de moi des impressions, des opinions de ce qui tourne rond – et aussi de ce qui ne tourne pas rond – dans ce monde.
J’ai commencé mon parcours professionnel par plusieurs stages dans le milieu associatif (WWF Suisse, Graines de Paix, Terre des Hommes Suisse), où il était question de concevoir et d’animer différentes activités visant à sensibiliser les jeunes générations – ou le grand public – à différents enjeux écologiques et sociétaux présents dans le monde. J’ai ensuite enseigné la géographie au niveau secondaire I pendant cinq ans, préparant moi-même mes supports de cours et réfléchissant à comment faire passer au mieux un contenu, un message, un concept, à ces adolescents qui seraient les adultes de demain.
Puis, en 2016, j’ai voulu réaliser un de mes rêves, celui de vivre de ma plume. J’ai alors à la fois développé une pratique d’écriture poétique (avec trois recueils publiés à ce jour) et me suis frayé un chemin dans le journalisme de presse écrite. Après avoir multiplié les écrits dans une large palette de sujets, je me suis mise à mon compte en janvier 2018 afin de toujours mieux définir ce qui me fait vibrer, de façon à mettre mon énergie dans des projets qui correspondent à mes intérêts et à mes valeurs, à trouver des clients qui me ressemblent.
En parallèle à ce travail plutôt solitaire, je m’engage régulièrement dans divers projets associatifs, ce qui me permet de continuer à travailler en groupe et à faire mûrir mes idées et ma pratique dans une logique d’intelligence collective.