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Je suis assez fascinée par Thomas Pesquet, cet astronaute français qui est reparti ce printemps pour la Station spatiale internationale (ISS).

Fascinée parce qu’il est jeune et qu’il a déjà accompli de grandes choses, et que ce type de profil m’attire.

Des astronautes connectés, qui sont actifs sur les réseaux sociaux, et qui savent vulgariser, communiquer, avec des mots qui parlent aux gens, il n’y en a pas des masses.

Moi, la vulgarisation de phénomènes complexes pour les rendre accessibles, c’est quelque chose qui me plaît beaucoup.

Donc je suis fascinée par cet astronaute, et par la manière dont il communique. Depuis le décollage de Space X vers l’ISS vendredi dernier, il poste des images de la Terre vue du ciel… et c’est beau.

Cela fait toujours le même effet : fascination, émerveillement, sentiment d’être tout-e petit-e, prise de recul forcée sur notre façon de vivre.

J’espère que ces images – et les mots qu’il met derrière – pourront avoir le même rôle que les toutes premières images de la Terre vues de l’espace, dès les années 1960-70, qui ont fait prendre conscience à certains précurseur-e-s de la fragilité de cette petite boule bleue au milieu de l’Univers, et qui a donné naissance, en quelque sorte, à l’écologie telle qu’on l’appelle aujourd’hui…